Vivre à la Confluence

A sa création, La Confluence avait pour ambition d’être un quartier répondant à toutes les fonctions contemporaines d’une cité. Il  bénéficie d’un aménagement complet avec des espaces publics grâce auxquels les habitants et passants peuvent se rencontrer, des pôles de loisirs, de commerces et de culture.

Les résidents profitent de moyens de transport développés avec des bornes Velo’v à proximité des habitations, le tramway, des bus et une navette fluviale qui relie le vieux centre ville et le nouveau quartier. Ce qui évite d’utiliser la voiture et de désengorger le quartier des nuisances sonores et environnementales.

La Confluence a pour objectif de devenir un territoire à énergie positive avec ses logements isolés à énergie renouvelables. Dans l’immeuble Le Denuzière, surplombé d’un « nid d’aigle » devenu un symbole, la lumière entre dans les appartements pratiquement toute la journée grâce au travail des volumes. Les matériaux me semblent plus traditionnels que les autres bâtiments avec des pierres blanches dont la teinte varie.

Je me laisse surprendre par L’escale composé de bois et de verre, immeuble qui possède des passerelles et coursives qui me rappellent les traboules lyonnaises dans le nord de la presqu’île. Et pour n’oublier personne, il existe un pôle enfance. Sa hauteur est différente des autres bâtiments, il compte seulement 3 étages. Le dernier niveau a une fenêtre ouverte sur la cité recouverte d’une peau orange. Les logements de la Confluence ont été conçus pour offrir un espace extérieur généreux afin de vivre dehors et de favoriser la mixité.