Ce territoire au sud de la Presqu’île longtemps consacré à l’industrie et aux transports met aujourd’hui en valeur un espace d’exception et des paysages uniques. A travers ma balade dans le quartier, je suis assez étonné de contempler la fusion entre l’art et l’architecture. Les artistes et professionnels du bâtiment ont concentré leur savoir faire pour donner un horizon époustouflant et une réinterprétation de l’art de vivre. Toujours en prenant en compte les modes de vie et les besoins de l’humain, ils ont réussi à construire bien plus que de simples bâtiments mais aussi des œuvres d’art au caractère unique.
J’ai ressenti lors de mes découvertes que le quartier porte de réelles valeurs telles que le partage, l’échange, au travers des habitations et des espaces de travail et de rencontres ouverts sur le monde. Ce n’est plus l’idée de rester chez soi avec les portes closes pour assurer sa sécurité, mais bien une nouvelle façon de vivre. La cité permet de rester dans un seul et même lieu pour assouvir tous ses besoins.
On assiste ici à une confrontation entre une hyper-modernité et en parallèle à un retour à l’authenticité dans les rapports humains. Bien qu’ils soient très originaux, les bâtiments nous ressemblent. Ils restent minimalistes et tendent vers notre mode de consommation et de vie actuel.
Dans la ville de Lyon, il est possible de se déplacer en métro, en bus, en tramway, en bus et en louant un Velov’ en libre-service.
Pour débuter la balade de Confluence :
